– Parle-moi de toi.
– Je commence où ?
– Comme tu veux.
– Je suis née pendant la guerre dans une petite ville ouvrière de Picardie…
C’est ainsi que nous avons commencé. L’enfance en filigrane de presque tous les enregistrements. (Michèle Febvre)
Ce solo s’inscrit dans un projet de recherche intergénérationnel initié et dirigé par Katya Montaignac. Des personnalités marquantes de l’histoire de la danse québécoise sont invitées à travailler avec de jeunes chorégraphes afin de se confronter aux nouvelles écritures chorégraphiques.
Producteur délégué : La 2e Porte à Gauche
Ce projet a bénéficié d’une aide à la recherche du CALQ.
Merci au département de danse de l’UQAM pour son soutien
Solo de Michèle Febvre créé par Nicolas Cantin dans le cadre du laboratoire intergénérationnel initié et dirigé par Katya Montaignac.
Solo de Michèle Febvre créé par Nicolas Cantin.
Idée originale et complice artistique : Katya Montaignac
œil extérieur : Ashlea Watkins
lumière : Frédérick Gravel
en codiffusion avec l’Agora de la Danse
Médias
« il y a quelque chose d’attirant dans ce silence et ce dépouillement extrême (…)
qui va à l’encontre de tout ce qu’incarne la société actuelle »
Frédérique Doyon | Les grands drames se cachent parfois dans les petites histoires | Le Devoir | 28 novembre 2013
« un portrait impressionniste qui marie, par touches infimes, sensibles et touchantes, la biographie de l’une et la signature intimiste de l’autre »
Aline Apostolska | Michèle Febvre: entre hier et demain | La Presse | 29 novembre 2013
« un instantané éloquent, qui se découvre doucement à travers une série de motifs, transmis par la voix ou le corps, trafiqués comme les autofictions,
nous en apprenant autant sur le chorégraphe que sur son sujet
comme tout portrait réussi »
Lucie Renaud | Cheese : Sourire pour ne pas pleurer? | JEU | 28 novembre 2013
« chaque micro-geste et mouvement, chaque regard et instant immobile
construit le sens, méticuleusement, sans rien laisser au hasard.
Ce sens dépouillé, dénudé de tout artifice,
plonge au cœur de l’être et de l’intime »
Iris Gagnon-Paradis | L’essence du minimal | Dfdanse | 30 novembre 2013
« C’est clairement un spectacle de moi car j’étais au volant de la voiture quand l’accident a eu lieu. (…) Ce projet affecte déjà la suite des choses.
J’ai l’impression qu’un nouveau chapitre s’ouvre »
Sylvain Verstricht | Cheese : les courriels | Local Gestures | 26 novembre 2013
« la danseuse est sur scène et la danse n’est peut-être pas où les gens l’attendent mais en regardant bien on va pouvoir la débusquer : elle est partout ! »
Nathalie de Han | Le projet qui décide | Dfdanse | 24 novembre 2013
« La rencontre est d’autant plus fertile qu’improbable »
Frédérique Doyon | Un ready-made chorégraphique | Le Devoir | 23 novembre 2013
« Veteran dancer Michèle Febvre encounters a unique challenge in Nicolas Cantin’s minimalist Cheese »
Victor Swoboda | Learning to speak through the power of silence | The Gazette | 22 novembre 2013
Catherine Paquette | Collages du passé | Artichaut | 5 décembre 2013
David Bigonnesse | Épurer pour mieux dévoiler | La Bible Urbaine | 20 novembre 2013
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